La propagande socialiste n'en finit pas sur les ondes et les télévisions. Le déchaînement est systématique.
La tactique est toujours la même: les journalistes socialistes mettent toujours en avant des débats qui ont plusieurs caractéristiques:
1) Les sujets traités ne sont souvent que des sujets secondaires qui masquent les problèmes de fond. Ainsi on nous rebat les oreilles avec la déchéance de la nationalité. Certes cette mesure doit être prise vis-è-vis de tous les immigrés er descendants d'immigrés d'origine extra-européenne, qu'ils aient la nationalité française ou pas. S'ils deviennent "apatrides", je propose qu'ils puissent prendre la nationalité de l'un de leurs parents ou grands-parents avant qu'ils arrivent en France. S'ils refusent, ils seront expulsé vers l'un de ces pays au hasard. Ainsi, l'affaire sera réglée. Mais les dispositions les plus importantes ne sont jamais évoquées: suppression du regroupement familial, droit du sang, expulsion de tous les clandestins, quasi-suppression des naturalisations (les régularisés de fin de droits devront repartir chez eux), etc..., etc... Il faut absolument stopper l'immigration de peuplement.
2) Ceux qui ne sont pas d'accord sont systématiquement injuriés, traités de termes préparés à l'avance (à croire qu'il existe des petits lexiques dans les écoles de journalisme où il sera intéressant de voir ce qui s'y passe): racistes, fascistes, nazis, nauséabonds, etc... Encore que je ne trouve pas injurieux d'être traité de raciste si je défends la race blanche (à l'inverse de Pécresse qui, elle, défend pourtant Auteuil, Neuilly, Passy) et je veux dire toute la race blanche, aussi bien le Breton, l'Auvergnat, le Savoyard, le Gascon ou le Bourguignon que le Parisien. Quant au fascisme et au national socialisme, tels qu'ils ont vécu dans l'Histoire, ils se sont révélés des régimes de guerres d'agression. Hors quel est l'enjeu actuellement? Il s'agit de sauver la peau des Français dits de souche qui, comme il est dit dans la Marseillaise, voient "dans leurs campagnes mugir ces féroces soldats qui viennent jusque dans leurs bras égorger leurs fils et leurs compagnes".
L'ennemi est maintenant "dans nos villes et nos campagnes" parce que des hommes (et femmes) politiques irresponsables les y ont laissés rentrer.
C'est pourquoi je dis: le patriotisme à la papa de Gaulle où on laisse l'ennemi entrer avant de le combattre est dépassé. Je suis un libéral, certes, en économie, mais je suis aussi national (et pas nationaliste) et social (et pas socialiste).
Je suis national, c'est-à-dire que j'estime que le premier centimètre carré de territoire national doit être défendu: ne doit rentrer que quelqu'un qui est persona grata (comme par exemple certains réfugiés chrétiens du Moyen-Orient), sinon expulsion immédiate. C'est différent du nationalisme htilérien ou mussolinien qui prônait la guerre d'agression. C'est supérieur à patriote: je n'attends pas qu'ils soient entrés par millions pour ensuite passer mon temps à commémorer les tueries générées par mon incompétence.
Je suis social: ma référence est le libéralisme, mais j'admets une certaine redistribution pour les plus faibles, sans tomber dans le charité publique. La charité est privée: à chacun de l'exercer à titre personnel si le coeur lui en dit. Je donne à chacun de quoi survivre en attendant un emploi ou s'il est handicapé, mais le reste vient de la charité privée.
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