mercredi 30 décembre 2015

CORSE BIS

Comme il fallait s'y attendre, Hollande, Valls et Cazeneuve se fichent éperdument que des pompiers aient été sévèrement agressés par des immigrés arabes en Corse: ce qui les intéresse, c'est de dissoudre les groupes identitaires!
Quand allons-nous pouvoir les fiche dehors définitivement?
Je parle même éventuellement de les envoyer hors de France, hors de cette France qu'ils n'aiment pas.

Mon adresse mail: pierregodicheau@wanadoo.fr

lundi 28 décembre 2015

DIALECTIQUE

Comme beaucoup le savent, les socialistes sont des maîtres de la dialectique. J'ai un peu planché là-dessus lors de mes (assez longues) études.
Beaucoup connaissent la dialectique hégélienne: thèse, antithèse, synthèse.
Les marxistes utilisent cette figure de style pour, en permanence, vous coller l'antithèse quand vous procédez à une affirmation (qui, en l'occurence, devient la thèse). Si vous parlez "entreprise", ils vont parler "exploitation", si vous parlez "immigration", ils vont parler "racisme", si vous parlez "clandestins", ils vont parler "pauvres hères", etc.., etc...
A chaque mot du vocabulaire de droite, ils vont opposer un mot "de gauche" qui va faire apparaître le mot de droite comme "nauséabond".
A titre personnel, pour le moment, je suis sorti de cette ornière redoutable pour ceux qui font leurs premières armes en n'utilisant qu'un nombre restreint de mots dont il est difficile de trouver une anithèse, à plus forte raison une antithèse "nauséabonde".
J'utilise les termes d'efficacité, de justice, de succès, de prospérité. Qui peut souhaiter l'inefficacité, l'injustice, l'échec, la misère?
Or ces mots appartiennent non seulement au vocabulaire de droite, mais aussi à l'ontologie de droite. Ils sont l'essence même de la droite, du moins le premier et les deux derniers. Or, vous savez que pour battre l'ennemi, il faut l'attirer sur son propre terrain. Sur les terrains de l'efficacité, du succès, de la prospérité, les socialistes seront toujours battus. Ce n'est qu'après une sérieuse rouste sur ce terrain que vous pouvez les amener sur le terrain de la justice, en leur démontrant qu'il ne peut pas y avoir de justice sans efficacité, CQFD (en partie l'objet de mon bouquin).

CORSE

Que les Corses soient plus courageux et plus farouchement indépendants que les Français, nous le savions déjà.
Cependant, eux aussi sont victimes des politiques laxistes en matière d'immigration depuis Giscard d'Estaing, piteusement planqué dans ses châteaux.
Les Corses ont raison et nous indiquent la marche à suivre: il faut en finir avec les socialistes et la majorité de l'ex-UMP.
Ils sont déterminés à se défendre, mais l'Etat socialiste va tout faire pour les en empêcher. Quand je vois le préfet de Corse du Sud, je crois rêver!
Qui sait que certains membres socialistes du corps préfectoral se sont tourné les pouces pendant 10 ans en étant payés sous Chirac et Sarkozy. Moi, je propose tout simplement qu'il n'y ait plus de préfets socialistes. Autant il est antinomique d'être économiste et socialiste, autant il est antinomique d'être préfet et socialiste. Un préfet est là pour assurer l'ordre et non pas le désordre. Or qui a créé le désordre à Ajaccio: ce sont les immigrés. Tous ceux qui ont participé à l'agression doivent être déchus de la nationalité française et expulsés vers leur pays d'origine. S'ils sont mineurs, c'est toute la famille qui doit être expulsée.
Des immigrés se sont intégrés et vivent en paix: ils pourront rester. Tous les autres devront partir. C'est aussi simple que cela et cela doit être dit.

samedi 26 décembre 2015

POPULISME

Les échecs des centre-droits "couilles molles" européens ont deux conséquences possibles: soit l'émergence d'extrêmes-gauches ou la montée de partis dits d'extrême-droite.
La classe journalistique, formatée par des écoles sous l'emprise de l'UMPS, comme les IEP, les écoles normales sup lettres et les écoles de journalisme, raisonne ("résonne", comme aurait dit un de mes profs du secondaire) selon des normes et un vocabulaire établis, comme je l'explique dans mon bouquin, à la fin de la seconde guerre mondiale.
Tout ce qui est à droite de l'ex-UMP est fasciste, nazi et tutti quanti.
Il est vrai que Hitler et Mussolini auraient été dans la case Le Pen du test Lewino, Marine le Pen étant un peu plus à droite (portefeuille un peu à droite), car ses propositions de gauche sont pour moi avant tout tactiques.
J'ai écrit mon livre, car il existe à droite de la famille le Pen, une case "Hersant" qui représente la droite libérale, nationale et sociale, de loin la plus compétente, mais aussi la plus vilipendée, car, aux yeux de la bien-pensance, elle est à la fois fasciste et capitaliste.
Or cette famille de pensée et surtout d'action, car l'un ne va pas sans l'autre à ce niveau, est ce qu'il y a de plus compétent dans le pays. Elle est largement aux commandes dans le privé, ce qui a donné les grandes réussites de l'économie française, et partiellement dans les entreprises publiques.
En revanche, dans le monde politique, elle est victime du conglomérat mis en place en 1945 et la classe médiatique se garde bien de l'inviter sur ses antennes: si tout allait bien, la moitié des journalistes perdraient leur emploi et les "analystes de crises" seraient obligés de se trouver un autre job.
A la limite, l'existence de la famille le Pen est une aubaine pour les journalistes: en focalisant sur eux, on évite de parler d'autres gens qui, s'ils arrivaient au pouvoir, ne manqueraient pas de mettre bon ordre à tout cela.
Les journalistes se sont donc trouvé un os à ronger avec le "populisme", symbole de régimes qui eux aussi, après des succès initiaux, ont échoué dans le passé.
La position anti-européenne des "populistes" est plutôt démagogique puisque ce qui fait la différence, ce n'est pas Europe ou pas Europe, mais régime de Droite ou de gauche, compétence ou incompétence. Une Europe gouvernée par une Droite libérale, nationale et sociale serait riche et prospère et se garderait du grand remplacement.
Voilà la vérité, mais faut-il la dire?

ESPAGNE

Rajoy a échoué aux élections législatives espagnole de dimanche dernier. C'est un échec que je prévoyais depuis plusieurs mois suite à l'élection de Tsipras en Grèce.
Rajoy est une illustration de la "droite molle" qui gouverne certains pays d'Europe comme Samaras en Grèce avant Tsipras, Sarkozy avant Hollande ou même Merkel.
Cette droite molle, si elle prend toujours quelques mesures favorables aux entreprises par ci par là et si elle procède à quelques coupes budgétaires toujours insuffisantes, a pour caractéristique commune de ne pas s'attaquer à l'immigration.
Or comme le souligne Gérard Pince dont je suis en train de lire l'ouvrage "Les Français ruinés par l'immigration", l'immigration est une des principales causes de nos déficits budgétaires et sociaux.
L'arrêt de l'immigration est un élément nécessaire actuellement en Europe à la réussite de toute politique économique.
Dans le cas de l'Espagne, il faut tout de même faire preuve de mémoire plus que celle d'une cervelle de moineau: le prédécesseur de Rajoy, le socialiste Zapatero, que tout le monde semble avoir oublié, comme par hasard, avait régularisé dès son arrivée plus de 800 000 clandestins. C'est ce même Zapatero qui avait laissé l'Espagne en ruines, avec plus de 25% de chômeurs, plusieurs banques en faillite et une succession de cartons rouges de l'Union européenne pour déficits excessifs. Ce Zapatero avait lancé son pays, sans doute pour occuper ses immigrés, dans une politique keynésienne bâtisseuse absolument insensée, obligeant, par de multiples pressions, les banques, et notamment les caisses d'épargne aux ordres du pouvoir, à financer la construction de logements pour lesquels il n'y avait pas d'acheteurs.
La suite est connue et Rajoy avait recueilli un héritage désastreux: il faut le dire et le redire. En effet, les journaleux de merde de l'establishment interlope, qui s'évanouissent en extase devant Podemos, oublient de nous dire que ces robustes connards feraient encore pire que Zapatero.
Rajoy, pour emprunter la terminologie de mon livre, n'ayant pas suffisamment la tête à droite, est engagé dans une double impasse:
- Dans une sorte de fatalité d'alternance de ce qui, en Espagne, est comparable à l'ex-UMP et le PS (flanqué maintenant d'une extrême-gauche mélanchonienne), il ne se défend pas ou se défend maladroitement en n'osant pas dire suffisamment quel héritage de merde il avait reçu du socialiste Zapatero;
- Il n'a pas osé suffisamment réduire les dépenses publiques et n'a pas osé stopper l'immigration.
Toute l'Europe est plus ou moins atteinte par ce syndrome: les centre-droits au pouvoir, ne réussissant pas, discréditent la Droite.
C'est pourquoi j'ai créé l'ALS, pour tenter d'instaurer une vraie Droite qui, elle, réussira, parce qu'elle prendra les mesures que nécessite la situation.

vendredi 18 décembre 2015

ELECTIONS

Je n'ai pas réagi à chaud aux résultats des régionales. Je le fais aujourd'hui, presque à froid.
Ceux qui ont lu mon bouquin savent qu'à mon avis, on peut faire mieux que Marine le Pen.
Pour autant, je regrette sa défaite, car je pense qu'elle aurait fait une bonne présidente de région. J'eusse aussi souhaité que son compagnon Louis Aliot, que j'apprécie, soit élu.
En revanche, je trouve que Marion Maréchal le Pen est trop jeune et je porte à son égard la même critique que vis-à-vis du fils Sarkozy: y aurait-il des privilégiés du fait de la naissance? Je suis un républicain, très à Droite certes, mais profondément méritocrate. On verra ce qu'elle vaudra à 40 ans quand elle aura un peu vécu. Quant à Philippot, je me méfie un peu de tout ce qui vient de chez Chevènement.
Appartenir à telle ou telle famille ne doit apporter aucun privilège et chacun doit attendre son tour et c'est quelqu'un de très à Droite, quelqu'un à qui l'on a dit très longtemps d'attendre son tour: trop à droite sans doute.
Quant à Marine, si elle ferait une bonne présidente de région, je ne pense pas qu'elle ferait une bonne présidente de la république pour les raisons que j'expose dans mon livre.
Et si cela est considéré comme un blasphème, cela veut dire que la France est mal partie, que plus personne ne peut s'exprimer librement en France.
Hé bien je le dis tout de même, car il faut avoir du courage en politique et que je suis un homme qui veut construire et non pas détruire.
Je demande aux compétents et courageux, quel que soit leur niveau, de me rejoindre. Les autres n'ont que l'embarras du choix pour rejoindre un autre parti!

CROISSANCE

Les médias annoncent environ 1%  de croissance pour 2015. J'ai tout d'un coup eu des sueurs froides: le socialisme, est-ce que çà marcherait?
Ouf!: ce matin un débat sur BFM business m'a rassuré. La croissance pour 0,8 point est dûe à des facteurs extérieurs: baisse des prix du pétrole, baisse du dollar et un autre que j'ai oublié!
Le trend hollandien de 0,2 à 0,3% par an se maintient: l'escargot continue tranquillement son chemin et les Français, qui se sont tout de même bien réveillés aux régionales, devront peut-être prendre du Maxiton pour se réveiller complètement la prochaine fois!

mercredi 9 décembre 2015

MIGRANTS

Je suis allé mercredi dernier à une soirée organisée par la fondation pour le service politique. Intervenant: le général Tauzin.
Selon lui, il y aurait 450 000 immigrés par an en France (je suppose qu'il s'agit des légaux + une estimation des illégaux). Selon ses sources, que je n'ai pas notées, ce serait 600 000 cette année.
Quand Flamby nous parle de 12 000 immigrés supplémentaires par an, il se fiche de nous dans les grandes largeurs.
Chacun sait que le socialisme, ce sont les mensonges (grands, moyens et petits). Autant les dénoncer, quelqu'ils soient, quand ils nous passent à portée de la main.
Hollande est d'autant plus dangereux que , comme je vous l'ai expliqué dans ma présentation Lewino dans un précédent message, c'est un centriste, à quelques encablures de Bayrou (dont on comprend alors les tropismes avec ce sinistre individu).
Je disais donc que Hollande est un centriste, ce qui lui donne une stature de sainte-nitouche qui s'offusque de tout "écart de langage" qui dénote avec le ronronnement quotidien du "business as usual", ce business as usual fût-il socialiste.
Il faut dire que cette posture est d'autant plus facilitée que 80% des Français sont centristes au sens lewinien du terme.
Quand tout va bien, c'est "pépère", d'où le surnom. Sans rien faire, tout va pour le mieux, il est en "symbiose" avec 80% de la poulation française.
En revanche, quand des tueurs vraiment dépourvus de tout respect pour sa"sainteté" s'avisent d'éliminer 123 personnes, dont un grand nombre de bobos qui prêchent eux-mêmes le "peace and love" hollandesque, tout se gâte. La vitesse du pédalo est limitée: comment faire? Tout se rouille, tout s'embrouille et Cazevide ne parvient pas à pallier vraiment la limitation de vitesse du pédalo. Quant à Valls (pas celui de Vienne, mais celui de Barcelone), malgré de furieux coups de pédales, il finit plutôt par disloquer le pédalo qu'à aller plus vite.
Alors la "sainte famille" (qui, par ailleurs, a horreur des crèches, du moins celles de Noël) se met à pédaler de travers et le pédalo, construit tel le Titanic pour être insubmersible, tangue dangereusement.
Cependant, nous les spectateurs, mais aussi acteurs occasionnels, trop occasionnels, n'avons pas encore assisté au naufrage.
Cependant, un espoir, les centristes, barristes dans le test Lewino, sont des entêtés, et le spécialiste du pédalo, qui cherche parfois à se transformer en spécialiste du dériveur, n'arrive pas toujours à faire dériver les Français dans des eaux qu'ils jugent dangereuses et notre capitaine de pédalo se prend des sacrés retours de mât dans la figure.
Je finirai par la courbe du chômage qui elle n'arrive pas vraiment à s'inverser. Ah, si cette fichue courbe pouvait connaître un  point de rebroussement (je parle pour les matheux, mais les autres peuvent aller voir sur google)) comparable aux avantages de Julie Gayet!

lundi 7 décembre 2015

COP 21 (ter)

Autre aspect de la COP 21: un nouveau coup de matraque fiscal pour "aider les pays pauvres à lutter contre le réchauffement climatique". Comment? Cà, il faut le demander aux intéressés, puisque, comme le dit Gérondeau: "Sur l'ensemble de la planète, le pétrole sera extrait jusqu'au dernier hectolitre, le charbon jusqu'à la dernière tonne et le gaz naturel jusqu'au dernier mètre cube".
Alors pourquoi s'énerver? On fait semblant de faire quelque chose, on dilapide des dizaines de millions d'euros pour organiser cet immense raout, on crée de nouveaux impôts ou on augmente des impôts existants selon les bonnes habitudes socialistes. L'ex-UMP aurait-il fait différemment? Rien n'est moins sûr. Aucun dirigeant de ce parti ne moufte, n'oublions pas que c'est le parti de l'inénarrable NKM, écologiste fanatique alliée un temps avec Borloo, qui, comme Renaud, économisait l'eau!